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Législatives 2007
La liste des candidats s'allonge dans la 2e circonscription (La Roche Sud). Après Sylviane Bulteau (Parti socialiste), Youri Kouskoff (Front national), et François Lagleize (collectifs anti-libéraux), c'est Raoul Mestre qui vient de faire officiellement acte de candidature.

Raoul Mestre repart dans la 2e circonscription

Séduit par François Bayrou, Raoul Mestre se lance dans la campagne des législatives comme « candidat du rassemblement ».

Déjà candidat en 2002, Raoul Mestre n'a finalement pas choisi d'attendre le verdict de la présidentielle pour repartir à l'assaut de la deuxième circonscription.

Cet avocat du barreau de La Roche-sur-Yon a choisi de s'inscrire sans plus attendre « dans le contrat de rassemblement » proposé par le candidat UDF.

« L'heure n'est plus à la division », affirme Raoul Mestre qui se présentera, d'ailleurs, sur la ligne de départ du scrutin du mois de juin sans la moindre étiquette. « Les Français ne veulent plus de cette division factice entre libéralisme et socialisme. Ce qu'ils souhaitent, c'est de pouvoir enfin se rassembler autour d'un homme calme et sérieux qui n'a rien d'un idéologue. »

Neveu de Philippe Mestre, ancien député et ministre des Anciens combattants sous le gouvernement Balladur entre 1993 et 1995, ce Talmondais âgé de 48 ans est un habitué des joutes politiques dans le secteur. Candidat aux régionales en 1998, aux municipales en 2001 à Talmont-Saint-Hilaire, aux législatives en 2002 et aux cantonales en 2004, il a prévu de battre la campagne en s'appuyant sur le projet « réaliste et pragmatique » de François Bayrou.

Comme le candidat UDF, ce fervent « militant » de la règle de non-cumul des mandats veut notamment « appliquer un moratoire sur les incinérateurs contrairement à l'avis de Dominique Caillaud, chaud partisan d'incinérateurs en Vendée à Grosbreuil ou à Saint-Florent-des-Bois ».

Une première pique contre le député sortant de la part d'un candidat qui n'imagine pas une seconde devoir se désister en faveur de l'un ou l'autre des candidats en lice, qu'il soit de droite ou de gauche, à l'issue du premier round des législatives.